Masadoru Diigo fut l’ultime chef suprême de la République de Gorutô-Est, succédant au véritable Masadoru Diigo à l’issue de la retraite de ce dernier.
Apparence[]
Telle la véritable incarnation de Masadoru Diigo, son double exhibait une corpulence imposante, vraisemblablement dans la sénescence. Ses cheveux d’ébène s’étiraient en une coupe mi-longue, tandis qu’une moustache finement dessinée ourlait sa lèvre supérieure, évoquant la forme d’un crayon.
Personnalité[]
Le double de Masadoru Diigo se distinguait par son caractère pompeux et vaniteux, s’érigeant en une parodie de Masadoru Diigo lui-même, bien que la véritable nature de cette incarnation reste enveloppée dans un voile de mystère. Il incarnait également les traits d’un dictateur implacable, ayant érigé un régime oppressif ; peut-être parce qu’il n’était qu’un substitut. Néanmoins, il demeure ambigu si ses mains étaient véritablement souillées par les atrocités du gouvernement en place ou s’il ne représentait qu’une figure de proue, le pouvoir étant concentré entre les mains d’une autre entité.
Histoire[]
Passé[]
Masadoru Diigo fut un éminent révolutionnaire qui orchestrait, avec une maestria indéniable, un coup d’État magistral visant à évincer la classe dominante de la République du Gorutô-Est, s’érigeant ainsi en nouveau souverain de la nation. Toutefois, il finit par prendre congé de ses fonctions, léguant une gouvernance bicéphale en héritage.
Arc des Kimera Ants[]
La figure de proue est initialement perçue en train de se divertir par des danseurs dans son palais tandis qu’il prend son déjeuner. Malgré l’avertissement de la présence d’individus indésirables, il ordonne à ses subordonnés de s’en charger et retourne s’immerger dans le spectacle. Peu de temps après, le souverain et ses gardes royaux font leur entrée dans la salle. Il enjoint ses hommes à intervenir, mais aucun ne peut lui prêter assistance, tous ayant été préalablement abattus par le Roi des Fourmis Chimères. Alors qu’il tente d’intimider les intrus en égrenant ses titres, cette attitude laisse perplexe et agace Meruem, qui le supprime immédiatement.
Peu après, Neferupito recourt à leurs prodiges en matière de Nen pour reconstituer et manœuvrer sa dépouille telle une marionnette, afin d’annoncer solennellement un rassemblement national impératif, dissimulant ainsi habilement la véritable intention de la « Sélection » aux yeux du peuple. La Garde royale use de nouveau du cadavre afin d’imposer la loi martiale à travers le pays. Son corps demeure préservé au sein du palais, prêt à être mobilisé en cas de nécessité.
À la suite de l’intrusion de l’équipe d’extermination, le cadavre fut englouti sous les décombres. Par la suite, le V6 manœuvre habilement la presse afin de maintenir dans l’ombre l’utilisation de la rose du pauvre par les fourmis et l’Association des Hunters. Au lieu de cela, ils rejettent la responsabilité sur Masadoru Diigo, l’accusant d’avoir fomenté l’assemblage de la population en vue d’un suicide collectif.
Anecdotes[]
- De par le fait que Diigo se comporte en dictateur absolu et que le Gorutô Est ne livre aucune information aux autres pays, la capitale à consonance asiatique et surtout l'existence d'un Gorutô Ouest, on peut supposer qu'il s'agit d'une parodie de la Corée du Nord.